« Mais » s'emploie encore dans la conversation au commencement d'une phrase qui a quelque rapport avec ce qui a précédé12,14, pour renchérir ou pour souligner une émotion. Grevisse estime que, dans des emplois de ce genre, « mais » perd son rôle de coordinateur pour devenir un introducteur, renforçant par exemple l'étonnement15.
« – Mais que diable allait-il faire à cette galère ? » Molière, Les Fourberies de Scapin, acte II, scène 7
« – Mais jamais de la vie, monsieur !... Qu'est-ce que c'est que ces manières ! » Feydeau, Le Dindon, acte I, scène 1.
« – Mais enfin, M. le Perpétuel et moi, nous n'avons pas rêvé ! » Gaston Leroux, Le Fauteuil hanté
« Mais que vous êtes élégante ce soir ! »